Les transports intelligents bénéficient des applications des nouvelles technologies de l’information et de la communication. On parle de véhicules intelligents coopératifs ou de véhicules connectés quand ces solutions leur permettent de communiquer entre eux mais également de communiquer avec les infrastructures permettant d’une part d’améliorer la sécurité et d’autre part d’effectuer des économies d’énergie et de réduire le CO2.
Dans ce dossier, la question centrale a trait au choix des technologies pour ce déploiement des STI-C : ITS-G5 (wifi) ou cellulaire C-V2X (cellulaire). La Commission privilégie dans un premier temps le développement wifi qui est moins chère et plus largement avancée sur le territoire, et propose l’entrée des autres technologies plus tard, avec obligation d’interopérabilité. Une objection a été soulevée pour défendre les intérêts des opérateurs et défenseurs de la technologie cellulaire, arguant la neutralité technologique, ils souhaiteraient que les choix technologiques soient laissés au marché. Or cela signifierai le risque de voir se développer deux parcs de véhicules incompatibles. J’ai donc voté contre.